30 septembre 1906 : Naissance, à Paris, de la chanteuse et actrice française MIREILLE sous son nom complet de Mireille Hartuch. Pour en savoir plus sur sa vie et connaître sa biographie, veuillez CLIQUER ICI.
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30 septembre 1922 : Naissance, à Apolda (Allemagne), de l’harmoniciste, animateur et producteur de radio et de télévision français Albert RAISNER sous l’identité d’Albert Rufenach. Pour en savoir plus sur la carrière artistique de cette personnalité, veuillez CLIQUER ICI.
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30 septembre 1944 : Naissance, à Montréal, de la chanteuse, comédienne et peintre canadienne Diane DUFRESNE. Pour en savoir plus sur la carrière musicale de cette artiste, veuillez CLIQUER ICI.
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30 septembre 1949 : Naissance, à Paris, de l’acteur, compositeur, musicien et interprète français Patrick LEMAITRE. Fils de l’auteur et parolier Jacques Demarny, il entame une carrière artistique à l’âge de huit ans au cinéma. En 1958 en effet, il obtient un petit rôle aux côtés de Fernandel dans le film « Le grand chef » réalisé par Henri Verneuil. Puis, c’est dans une pièce de Marc-Gilbert Sauvageon qu’on le retrouve en 1959 sur la scène du théâtre Marigny avant qu’il ne joue dans le feuilleton télévisé de Jean Bacqué « Le trésor des treize maisons ». Ensuite, il multiplie les expériences théâtrales (« Les cochons d’Inde », « Les glorieuses », « Les misérables », « Emile et les détectives », « Ambroise Paré »), cinématographiques (« Les mystères de Paris », « Merveilleuse Angélique », « Point de mire ») et télévisuelles (« Les saintes chéries », « L’éventail de Séville », « Les cinq dernières minutes »). En 1964, alors qu’il tourne dans « Point de mire », il lui est demandé de composer quelques mélodies qui deviendront ses premières chansons. C’est que, deux ans plus tôt, son parrain, qui est le parolier Fernand Bonifay, lui a offert une guitare électrique sur laquelle il apprend la musique. Et, en 1969, c’est tout naturellement qu’il compose une première chanson pour le débutant Gérard Palaprat : « Les orgues de Berlin ». Avant de composer, toujours pour le même interprète, « Fais-moi un signe » et « Pour la fin du monde » sur des textes de Jean-Pierre Lang.
Le succès est au rendez-vous de ces deux derniers titres et l’auteur devient très sollicité par Johnny Hallyday (« Comme si je devais mourir demain » en 1972), Nicole Rieu (« La maison de sable », 1975), Enrico Macias (« La marelle », 1977), Nicole Croisille (« Fané, fini, foutu », 1978), Catherine Bardin (« Si tu savais », 1978), Carlos (« Papayou », 1983), Céline Dion (« Les chemins de ma maison », 1983), Eddy Mitchell (« La peau d’une autre », 1987) ou Philippe Lavil (« La chica de Cuba », 1989). Entre 1970 et 1982, Patrick Lemaître franchit le pas et enregistre une dizaine de 45-tours qui ne lui apporteront pas le succès qu’il connaît en tant que compositeur. Alors, il compose aussi des indicatifs et des génériques pour la télévision française : « Les jeux de 20 heures », « Les mariés de l’A2 », « L’arche d’or », « Tous à la Une », « Vidéogag », etc. A partir des années 1980, il délaisse quelque peu ses activités de compositeur pour s’investir dans la défense du dtroit d’auteur en intégrant divers postes importants au sein de la SACEM, Société française des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique.
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30 septembre 1962 : Naissance, à Charleroi, de l’auteur, compositeur et interprète belge Jeff BODART dont le vrai prénom est Jean-François. Pour en savoir plus sur la vie et le parcours professionnel de cet artiste, veuillez CLIQUER ICI.
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30 septembre 1964 : Naissance, à Los Angeles aux Etats-Unis, du chanteur occasionnel et acteur franco-américain Anthony DELON. Fils d’Alain et de Nathalie Delon, il vit avec eux un an en Californie avant qu’ils ne s’installent en France. Au moment de la séparation de ses parents en 1968, il va vivre avec son parrain et sa marraine car sa mère est très occupée par ses activités artistiques. Son enfance est un peu chaotique et il est envoyé en pension à la campagne. Il s’en évade pour aboutir dans une école parisienne à Saint-Germain-des-Prés. L’adolescence d’Anthony n’est guère plus brillante et il fréquente de nombreux établissements scolaires dont il s’échappe ou est évincé. Jeune adulte, il commence à s’intéresser à la musique et part à Londres pour travailler dans une maison de disques: Island Records. De retour en France, il est arrêté, à l’âge de 18 ans, au volant d’une voiture volée et en possession d’une arme prohibée. A sa sortie de prison, il crée une ligne de blouson de cuir qui marche bien mais ces activités ne vont pas l’extraire d’un milieu où les caïds règlent leurs comptes à coups de pistolets. Il part alors pour New York où il fait des rencontres artistiques intéressantes avec Andy Warhol et Brooke Shields notamment. Le metteur en scène italien Alberto Lattuada le croise aux USA et lui propose un rôle dans le film qu’il va tourner à Rome. Anthony accepte et travaille aussi avec Francesco Rosi. En 1987, il revient à sa passion pour la musique et tente, comme d’autres acteurs, l’aventure de la chanson. Il enregistre un disque 45 tours avec « Qu’elle revienne », un titre peu convaincant et peu joué par les radios. Après un nouveau séjour aux Etats-Unis, il revient finalement vivre en France et s’oriente vers le cinéma, la télévision et le théâtre. Il fait encore un détour du côté de la chanson en 2012 lorsqu’il enregistre le titre « Skype » en duo avec la chanteuse Robert.
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30 septembre 1972 : Naissance, à Liège, du guitariste et chanteur belge Jérôme Mardaga, mieux connu sous le pseudonyme de JERONIMO. Très jeune, il se retrouve engagé comme guitariste dans des groupes de sa région natale. Patiemment, il peaufine ainsi son jeu. Et, un peu par hasard, il se fait connaître du grand public en 2000 lorsque l’une de ses démos intitulée « Mon éternel petit groupe » est diffusée par la radio publique rock de la communauté francophone de Belgique: Radio 21. Il s’affuble alors du pseudonyme de Jéronimo et signe un contrat avec le jeune label indépendant belge Anorak Supersport. Début 2002, un single est envoyé aux radios qui le diffusent très bien: « Ma femme me trompe ». La chanson annonce un album qui est commercialisé quelques semaines plus tard: « Un monde sans moi ». Tout empreint d’un surréalisme typiquement belge, ce premier opus reçoit un accueil très favorable du public et des journalistes. Jéronimo se retrouve alors très vite à l’affiche des grands festivals de l’été: Dour Festival et Francofolies de Spa entre autres. Il fait aussi un détour par le Printemps de Bourges avant de se produire dans toute l’Europe. En novembre 2002, il se produit à Montréal où il est accueilli par le festival du Coup de Coeur Francophone.
Par la suite, l’artiste se voit invité à se produire en première partie des concerts du groupe français Indochine. Un disque est alors enregistré en public au Botanique à Bruxelles. Jéronimo assure ensuite le lever de rideau de Cali à l’Olympia de Paris. Ces nombreux voyages permettent au compositeur d’écrire des novelles chansons qui se trouvent réunies sur son deuxième album qui paraît en 2005: « 12h33 ». Les arrangements musicaux y sont différents et diversifiés avec des guitares électriques répondant aux acoustiques. A la fin de l’année, le groupe belge dEUS demande à Jéronimo d’assumer la première partie de sa tournée française qui passe notamment par la salle parisienne de l’Olympia. En novembre 2006, l’album « 12h33 » reçoit le prix Rapsat-Lelièvre à Montréal pendant le festival du Coup de cœur Francophone. Alors que sa carrière se poursuit avec succès, Jérôme participe, en studio, aux projets discographiques de Miam Monster Miam, Sophie Galet, Juan d’Outremont et Jacques Duvall. Par la suite, le musicien rejoint le groupe de Mark Gardener and The Full Band Sonic et cette nouvelle aventure lui permet de composer de nouveaux morceaux qu’il enregistre en Italie en 2007. Quelques mois plus tard, Jérôme rejoint, en tant que guitariste, le chanteur Saint-André qu’il accompagne sur scène pendant quelques mois. Il achève ensuite, en Italie, l’enregistrement des chansons qui vont constituer le nouvel album de Jéronimo qui sort à l’automne 2008: « Mélodies démolies ». La galette numérique est encore différente des précédentes mais on y trouve toujours l’humour décalé qui fait désormais la réputation du chanteur. Tout en y incluant des textes et des thèmes sérieux comme la crise économique de l’époque (« L’argent c’est bien »), les chansons sont plutôt désinvoltes et insouciantes. Le disque n’est pas un succès commercial malgré les nombreux concerts qui vont suivre sa sortie. Et Jérôme Mardaga reprend son job de musicien auprès de Saint-André, Jacques Duvall, Benjamin Schoos et Marc Morgan notamment. Un dernier concert de Jeronimo à Mons (B) en 2010 est censé terminer la carrière de l’artiste sous ce pseudonyme. Mais, après avoir « fait le ménage » autour de lui, Jéronimo reprend le chemin des studios en 2013, année au cours de laquelle sort son quatrième album studio : « Zin zin ». Il prête alors ses talents de guitariste aux chanteurs Olivier Juprelle et Hugo qu’il accompagne sur scène en 2014 et 2015. En 2016, c’est avec Gaëtan Streel que Jérôme joue de la guitare sur scène. En 2018, l’artiste reprend son patronyme intitial de Jérôme Mardaga pour sortir un nouvel album qui a pour titre « Raid Aérien » et qui est en totale rupture avec son travail précédent. Véritable plongée au sein d’un monde imaginaire effrayant, instable et monochrome, l’opus est peuplé d’oiseaux-espions, de paysages où tombe une neige inconnue et où les personnages tentent de survivre dans une lumière glacée et mécanique. Et, sur scène, dans une atmosphère glaciale noire et blanche, seuls les titres agressifs et répétitifs de l’ancien répertoire sont retenus pour se marier au nouveau matériel.
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Elle poursuit une carrière cinématographique intense et se donne le temps, en 2010, d’enregistrer une chanson en anglais pour une publicité de Dior: « The eyes of Mars ». Car Marion Cotillard est aussi chanteuse et bassiste. Fin 2010, elle accompagne le groupe Yodelice, avec Maxim Nucci, sur les routes de France sous le pseudonyme de Simone.
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30 septembre 2002 : La première du spectacle musical « Cindy » (Cendrillon 2002) a lieu au Palais des Congrès de Paris. Elle est l’oeuvre de Luc Plamondon pour les textes et Romano Musumara pour la musique. Parmi les invités de marque, on distingue Céline Dion, René Angelil, Francis Cabrel, Marc Lavoine, Didier Barbelivien, Mémé Ibach, Orlando, Hélène Ségara, Claude Lelouch, Elie Chouraki, Sylvie Joly, Line Renaud, Enrico Macias, Mario Barravecchia, Nikos Aliagas, les candidats de l’actuelle Star Academy France, Jean-Pierre Pernaud, Frédéric Lopez et Christine Bravo entre autres. La première partie du spectacle est très rythmée et attrayante. Mais la seconde partie, une fois la fin de l’histoire expédiée en quelques minutes, se résume malheureusement en une longue suite de chansons où chaque personnage y va de sa goualante. Toutes les voix sont excellentes : Lââm, Frank Sherbourne, Patsy Gallant, Carine de Star Academy 1, Assia, Jay des Poetic Lovers, Judith Bérard et Kristel Adams. Un bémol cependant : la prestation de Murray Head (le papa de Cindy) qui est, le 30 septembre en tout cas, des plus mauvaises : c’est faux et peu compréhensible.
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30 septembre 2017 : Dans son 21e album qui est commercialisé ce jour (« 5 minutes au paradis »), Bernard LAVILLIERS consacre une chanson à la ville belge de Charleroi. L’artiste y relate la décrépitude de cette métropole après le déclin et la fermeture de ses industries lourdes. Et si le chanteur s’est penché sur la cité wallonne, c’est en grande partie grâce à l’un de ses musiciens renommés, Daniel Romeo, qui en est originaire. Bernard Lavilliers a ainsi immédiatement saisi le parallèle entre Charleroi et sa ville natale de Saint-Etienne pour laquelle il avait aussi écrit une chanson en 1975. Saint-Etienne était une ville minière sidérurgique où on fabriquait des armes, de l’acier et du charbon. A Charleroi c’était du charbon et de l’acier. Et si l’artiste a vu sa ville se dissoudre, perdre sa population et perdre son identité, il a aussi vu Charleroi, un peu après, faire à peu près la même chose.