La chanteuse et animatrice française Amanda LEAR naît le 18 novembre 1946 à Saïgon (Vietnam) sous le nom d’Amanda Tapp. Son père est un officier français d’origine britannique et sa mère est russo-asiatique. Elle vit son enfance et sa jeunesse dans le Sud de la France et en Suisse. A l’âge de seize ans, elle suit des cours de peinture à Paris avant de déménager pour Londres où elle s’inscrit au Saint Martins College of Art and Design. Deux ans plus tard, elle travaille comme mannequin et participe à des défilés de mode. En 1965, elle fait la connaissance du célèbre peintre surréaliste Salvador Dali qui lui demande de poser pour lui. Elle partage alors la vie de l’artiste pendant près de quinze ans. Ce dernier s’amuse à faire croire qu’Amanda est un homme. Et Amanda en profite pour tirer parti de cette ambiguïté. Lorsqu’elle rencontre le Rolling Stone Brian Jones, elle s’approche de la musique et de la chanson. Puis, c’est David Bowie qui lui conseille vivement de devenir chanteuse. En 1978, elle devient ainsi l’une des reines du style disco en enregistrant le tube « Follow me ». Mais c’est trois ans plus tôt qu’elle commence sa carrière avec la chanson « Trouble » adaptée en français sous le titre « La bagarre » en 1976.
Une dizaine d’albums vont suivre qui comprennent, de temps à autre, une ou plusieurs chansons en français. Sur « Tant qu’il y aura des hommes », le neuvième album studio d’Amanda Lear sorti en France en 1990, il y a les adaptations en français de plusieurs titres interprétés en italien dans son album précédent « Uomini più uomini » et un titre inédit: « Métamorphose ».
En 2003, « Tendance » est le douzième album studio d’Amanda Lear où figurent des titres comme « Hier Encore » de Charles Aznavour et le texte de Baudelaire « L’Invitation Au Voyage ».
Fin 2006, sur l’opus intitulé « With love » (et qui sort aussi sous le titre « Amours toujours » en 2008), elle reprend notamment « Déshabillez-moi » de Juliette Gréco, « Si la photo est bonne » de Barbara ou encore « Bambino » de Dalida.
En 2009, l’album « Brief encounters » contient la reprise de « Comment te dire adieu » que Gainsbourg avait composée pour Françoise Hardy à la fin des années 1960.
En mai 2016, le 18e album studio d’Amanda s’appelle « Let me entertain you » et recèle quelques titres en français (« La rumeur » et « Couleurs ») ainsi que du slam.
Cinq ans plus tard, l’artiste enregistre son premier album avec des textes essentiellement français et signés par Serge Gainsbourg, Barbara, Julien Doré, Miossec, Alain Bashung ou George Moustaki. Acoustique et pop, l’opus intitulé « Tuberose » raconte la désillusion, la mort, l’âge ou encore la séduction comme un regard porté sur une vie trépidante mais finalement apaisée.
En 2025, Amanda Lear commercialise un nouvel album qui a pour titre « Looking back » dont elle a dessiné l’autoportrait figurant sur la pochette. Comme certains de ses précédents opus, celui-ci est encore composé de titres en anglais et en français. Et on y retrouve la signature du Québécois Pierre Lapointe notamment.
LEAR Amanda
Amanda Lear en 1982
La chanteuse et animatrice française Amanda LEAR naît le 18 novembre 1946 à Saïgon (Vietnam) sous le nom d’Amanda Tapp. Son père est un officier français d’origine britannique et sa mère est russo-asiatique. Elle vit son enfance et sa jeunesse dans le Sud de la France et en Suisse. A l’âge de seize ans, elle suit des cours de peinture à Paris avant de déménager pour Londres où elle s’inscrit au Saint Martins College of Art and Design. Deux ans plus tard, elle travaille comme mannequin et participe à des défilés de mode. En 1965, elle fait la connaissance du célèbre peintre surréaliste Salvador Dali qui lui demande de poser pour lui. Elle partage alors la vie de l’artiste pendant près de quinze ans. Ce dernier s’amuse à faire croire qu’Amanda est un homme. Et Amanda en profite pour tirer parti de cette ambiguïté. Lorsqu’elle rencontre le Rolling Stone Brian Jones, elle s’approche de la musique et de la chanson. Puis, c’est David Bowie qui lui conseille vivement de devenir chanteuse. En 1978, elle devient ainsi l’une des reines du style disco en enregistrant le tube « Follow me ». Mais c’est trois ans plus tôt qu’elle commence sa carrière avec la chanson « Trouble » adaptée en français sous le titre « La bagarre » en 1976.
Une dizaine d’albums vont suivre qui comprennent, de temps à autre, une ou plusieurs chansons en français. Sur « Tant qu’il y aura des hommes », le neuvième album studio d’Amanda Lear sorti en France en 1990, il y a les adaptations en français de plusieurs titres interprétés en italien dans son album précédent « Uomini più uomini » et un titre inédit: « Métamorphose ».
En 2003, « Tendance » est le douzième album studio d’Amanda Lear où figurent des titres comme « Hier Encore » de Charles Aznavour et le texte de Baudelaire « L’Invitation Au Voyage ».
Fin 2006, sur l’opus intitulé « With love » (et qui sort aussi sous le titre « Amours toujours » en 2008), elle reprend notamment « Déshabillez-moi » de Juliette Gréco, « Si la photo est bonne » de Barbara ou encore « Bambino » de Dalida.
En 2009, l’album « Brief encounters » contient la reprise de « Comment te dire adieu » que Gainsbourg avait composée pour Françoise Hardy à la fin des années 1960.
En mai 2016, le 18e album studio d’Amanda s’appelle « Let me entertain you » et recèle quelques titres en français (« La rumeur » et « Couleurs ») ainsi que du slam.
Cinq ans plus tard, l’artiste enregistre son premier album avec des textes essentiellement français et signés par Serge Gainsbourg, Barbara, Julien Doré, Miossec, Alain Bashung ou George Moustaki. Acoustique et pop, l’opus intitulé « Tuberose » raconte la désillusion, la mort, l’âge ou encore la séduction comme un regard porté sur une vie trépidante mais finalement apaisée.
En 2025, Amanda Lear commercialise un nouvel album qui a pour titre « Looking back » dont elle a dessiné l’autoportrait figurant sur la pochette. Comme certains de ses précédents opus, celui-ci est encore composé de titres en anglais et en français. Et on y retrouve la signature du Québécois Pierre Lapointe notamment.
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