Voici un nouvel artiste à découvrir. Il s’appelle Hugo Jardin et vient d’enregistrer quelques titres dont le premier à être « clippé » est « Nuit vacillante » . Si Hugo vient tout juste de se lancer dans une carrière de chanteur, il n’est pas un nouveau venu dans le milieu musical français. A seize ans, il découvre le mouvement punk et fonde, à Paris, le groupe « Malaparts » . Ayant ensuite l’opportunité de vivre un moment à New York, il y crée « The Young Devotchkas » qui tourne pendant trois ans et enregistre deux EP’s. L’expérience est plutôt concluante mais Hugo revient en France pour tenter d’autres aventures artistiques. Il se tourne ainsi vers la poésie en publiant un recueil puis vers l’art du mime, l’expression corporelle et la danse.
Mais il ne va pas oublier la musique pour autant car elle est alors toujours au cœur de ses performances originales. Et, ce qui doit arriver arrive : Hugo se tourne vers la chanson et la pop alternative. En proposant des concerts dans des lieux aussi divers qu’improbables.
Ensuite, la crise sanitaire du coronavirus covid-19 passe par là et Hugo se réinvente en postant des vidéos sur les réseaux sociaux. Il y interprète des reprises (dont des adaptations françaises de morceaux de Nirvana) et des nouveaux titres de sa composition. Parmi ces derniers, il y a « Nuit vacillante » qui est produit par le label qu’il a fondé avec quelques amis. Il s’agit du premier single d’Hugo Jardin. Co-écrit avec Nicolas Gary (ex Nouvelle Frontière) et réalisé par Robin Leduc, « Nuit Vacillante » mêle, sous l’influence du synth-punk de la fin des 70’s, l’héritage d’une certaine chanson française et la modernité d’un son puissant dans la lignée d’artistes comme Suicide, Christophe, Etienne Daho, New Order, Jacno, et bien d’autres.
Un clip de la chanson est réalisé par Thomas Kelly et il met en image la trame du morceau: une personne qui plonge dans l’inconnu d’elle-même pour se retrouver.